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Pour un véritable Rassemblement pour la Liberté

D’où vient l’argent actuel ?

Financement de l’État ?

Situation actuelle

L’impôt sur le revenu

Les incertitudes 

Une instabilité accrue

Politiques des prix et des revenus

Sélectivité de la politique économique

1998, fin d’un cycle, début d’une nouvelle ère

Crise globale

Une nouvelle ère monétaire ?

Budget 2020 en chiffres

Stop aux gaspillages

 Dette publique

Retour au passé pour voir l’avenir !

Certificats de papier ont remplacé l’or 

Gaspillages pour la presse

Gaspillages hors de France

Gaspillage au niveau des travaux publics

Gaspillage judiciaire

Gaspillage administratif

Rôle de L'État en économie politique avec le R.P.L.

Gaspillage par mégalomanie

L’immigration, une chance !













Pour un véritable Rassemblement pour la Liberté


Ces premières pages présentent des aspects rébarbatifs, j'en ai conscience et vous prie de bien vouloir m'en excuser. Cependant, je les ai jugées nécessaires, indispensables mêmes pour justifier les réformes dont je vais faire état à présent, vu la situation actuelle !

La volonté de changement de politique ne peut pas être obtenue sans un changement profond des règles de droit actuelles et un changement total des modes de procédure pour redonner à la France une véritable Justice, son indépendance et sa liberté ! Pour le R.P.L., il existe deux impératifs : l'ensemble des règles de droit doit s'appuyer sur la logique et un minimum de sens moral et d’esprit de Justice, ce dont les législateurs successifs actuels s'éloignent de plus en plus…

Et bien entendu, il est urgent de mettre fin aux gaspillages, aux scandales politiques et/ou judiciaires dont nous sommes sans cesse témoins. Regardez, cette vidéo à titre d’exemple : Le gaspillage en toute légalité !
Ces situations, seront neutralisées avec fermeté avec la politique sociale du R.P.L., trop sociale pour être socialiste ! Voyons d’abord les gaspillages et la fiscalité.

D’où vient l’argent actuel ?
Le journal « Le Monde diplomatique » donne une explication très simple du cycle de l’argent :

Contrairement à une idée reçue, les banques ne se contentent pas de prêter l’argent qu’elles ont reçu en dépôt. En réalité, elles créent la monnaie ex nihilo, à la demande des entreprises et des ménages qui sollicitent des crédits. 
L’opération permet d’avancer les fonds nécessaires à la création future de richesse (production des entreprises) ou de revenus (les salaires à venir des ménages). Le rôle des banques traditionnelles, dites commerciales, est donc triple : créer la monnaie ; collecter et gérer les dépôts de leurs clients et faire circuler la monnaie entre les comptes. Ceci en théorie, mais la pratique est moins honorable, comme nous allons le voir.
A quoi assistons-nous ?
1. Les banques prêtent aux entreprises (ainsi qu’aux particuliers et à l’État… depuis la loi de 1973) pour leur permettre de financer leurs productions futures : la création monétaire consiste pour la banque à créditer le compte de dépôt de l’entreprise.
Apparaît là la première fonction des banques. Ce crédit bancaire constitue une créance de la banque sur l’entreprise, et symétriquement une dette de l’entreprise envers la banque. La création monétaire par prêt aux entreprises permet de surmonter le décalage dans le temps entre leurs dépenses (payer des salaires) et leurs recettes ultérieures (vente de la production).
2. L’entreprise paie les dépenses (salaires des travailleurs) liées à son cycle de production en utilisant l’argent disponible sur son compte de dépôt bancaire : la monnaie créée commence à circuler dans l’économie.
3. Les salariés (ménages) reçoivent leurs salaires sous la forme d’un virement de l’entreprise sur les comptes de dépôt à la banque.
Apparaît là une deuxième fonction des banques : collecter et gérer les dépôts de leur clientèle.
4. Les salariés vont à leur tour faire circuler la monnaie sous forme scripturale à l’aide de moyens de paiement comme les chèques, les cartes de crédit
Apparaît là une troisième fonction des banques : mettre à la disposition de leurs clients des instruments de paiement.
5. Les salariés vont acheter les biens produits par les entreprises, ce qui se traduit à nouveau par des flux monétaires depuis les comptes des ménages vers les comptes de dépôt des entreprises.
6. L’entreprise utilise ses ressources, liées à la vente de sa production, pour rembourser sa dette à la banque : la monnaie initialement créée (en 1) est alors détruite, la banque perçoit des intérêts, et le cycle recommence.
On peut voir les banques comme une gigantesque pompe qui crée, fait circuler, puis aspire l’argent nécessaire au fonctionnement de l’économie.

Financement de l’État

Le budget de l’État correspond à l’ensemble de ses ressources et de ses dépenses. L’essentiel des ressources provient des impôts et des taxes payées par les citoyens et les entreprises. Les dépenses correspondent à l’argent que l’État utilise pour financer l’action publique : police, Justice, recherche, éducation… Depuis plus de quarante ans, les dépenses de l’État sont supérieures à ses recettes. Ainsi, le budget fait apparaître un déficit. L’accumulation de ces déficits au cours des années constitue la dette de l’État.
 
Les dépenses de l’État comprennent des dépenses de personnel, de fonctionnement, d’intervention (exemple : aides économiques), d’investissement (exemple : construction des routes) ainsi que le remboursement des intérêts de la dette. Le budget de l’État propose une présentation des dépenses par destination (Missions, elles-mêmes déclinées en programmes), permettant au citoyen de bien comprendre à quelle politique publique ou mission est affecté l’argent de ses impôts.
Les recettes de l’État sont l’ensemble des ressources à sa disposition pour la mise en œuvre des politiques publiques. Chaque année, elles sont synthétisées dans le budget de l’État. L’essentiel de ces ressources vient des recettes fiscales -soit plus de 90 % du total des recettes - constituées d’impôts directs ou indirects prélevés à la fois sur les citoyens et les entreprises. Ses autres recettes proviennent de recettes non fiscales telles que le produit des amendes ou des jeux.
 L'État ne recouvre pas la totalité des dépenses publiques. Même s’il est sollicité pour aider à équilibrer les budgets d’autres acteurs publics dont les budgets sont pourtant bien distincts de celui de l’État (budget des administrations de sécurité sociale et des administrations locales), l’État a une part minoritaire dans la dépense publique en France. 
Situation actuelle
Comme il est toujours très difficile, voire impossible, de connaître l’état réel de nos finances, je ne m’hasarderai pas à vous donner des chiffres précis, qui, de toutes façons, ne seront jamais respectés, je n’ai aucune confiance en notre équipe gouvernementale actuelle, je préfère vous donner ci-après des liens (toujours en rouge) pour un accès direct au site du Ministère des finances pour que chacun de mes lecteurs puisse prendre conscience des réalités de l’information destinées au public, sans aucune garantie de notre part, ainsi :
Le projet de loi de finances 2024 fixe à 21 610 millions d'euros la contribution de la France au budget de l’Union européenne pour 2024.

Afin de connaître la répartition du budget français, vous pouvez consulter les documents budgétaires disponibles sur le site de la Direction du Budget.
Pour chaque exercice budgétaire, le site publie tous les documents budgétaires annexés au projet de loi de finances.
L'article 33 du projet de loi de finances pour 2024 fixe à 21 610 millions d'euros la contribution de la France au budget de l’Union européenne pour 2024. Pour le R.P.L. cette contribution sera réduite à 0 €, en vertu de notre loi anti-gaspillages) une loi qui nous permettra, entre-autres :
la gratuité de l’enseignement pour tous nos ressortissants à tous les niveaux, 
celle de la Justice, de l’ensemble des soins pharmaco-médicaux à des fins thérapeutiques
de l’ensemble des services publics en supprimant tous les impôts à titre personnel (sur le revenu, des sociétés, des droits de bail, etc.) et l’ensemble des charges sociales.

Nombreux sont ceux qui se posent la question : L'enseignement gratuit à tous les niveaux, la suppression de la caisse de Sécurité sociale pour son remplacement par des frais pharmaco-médicaux gratuits, la suppression de l'impôt sur le revenu, des vignettes et de toutes autres taxes parasites, des péages sur autoroute et places de stationnement, la Justice gratuite, des amendes proportionnelles aux revenus de chacun, etc., c'est très joli, c'est formidable même, mais comment va-t-on financer tout ça ? Qui va payer et comment ? En tout cas, la situation actuelle est vraiment des plus inquiétante, selon l’avis de nombreux spécialistes de la finance !

Comme vous, je me suis posé ces questions, je devais absolument trouver des solutions qui soient à la fois simples, justes et réalistes. Avec une volonté politique très ferme, rien n’est impossible, il suffit de s’en donner les moyens : la France ne sera plus une ploutocratie !



L’impôt sur le revenu

Quelle est son origine ?
C’est une idée de Joseph Caillaux (1863-1944). Cet homme, est un personnage qui a fortement marqué la 3e république. Président du conseil, cet ancien inspecteur des finances, franc-maçon notable, fut ensuite ministre des Finances.
 
Alors qu’il était député de Mamers depuis 1898, c’est en 1899, dans le cabinet de Waldeck Rousseau, qu’il devient ministre des Finances. Sous Clemenceau, en 1906, il réforme le système des contributions directes, mais il échoue dans son projet de révision de l’impôt sur le revenu. Devenu Président du conseil, en 1911, il s’efforce de traiter avec Berlin (unité des loges maçonniques pour former l’Europe) ce qui lui vaut des avantages au Maroc.
 
Le personnage est calculateur, intriguant et sans scrupule, c’est l’homme parfait du parti radical socialiste : il sait parfaitement tromper son Monde et placer l’intérêt des loges, donc du parti, en avant : il parvient à refaire l’unité des gauches. Ce n’est qu’en 1914, alors qu’il est à nouveau ministre des Finances, qu’il parvient à imposer sa conception de l’impôt sur le revenu.
 
Sa femme tue alors le Directeur du Figaro (Calmette) qui menait campagne contre son mari (elle ne plaisantait pas sur la carrière de son mari). Cet homme de gauche, portant monocle, était bien loin d’être lui-même un modèle de vertu. Il fut condamné en 1920 pour intelligence avec l'ennemi mais il sera amnistié en 1925, le frère Jean Monnet, franc-maçon aussi, avait besoin de lui et nommé Président de la commission sénatoriale des finances : il est devenu le tenant de l’orthodoxie capitaliste.
 
Il devient vice-président du conseil sous Aristide Brillant la même année (1925). J’ouvre une parenthèse sur Aristide Brillant, né à Nantes en 1862 (mort à Paris en 1932). Il était le cofondateur, avec Jaurès, du parti socialiste français (1901), qu’il quitta en 1905, il fut 23 fois ministre (18 fois des Affaires étrangères) et 11 fois président du Conseil. Après 1918, il s’attacha à maintenir la paix (accords de Locarno avec l’Allemagne, 1925) et se montra actif à la Société des Nations (le pacte Briand-Kellog, pacte de renonciation générale à la guerre, fut signé en août 1928 par 60 nations). Aristide Brillant fut aussi Prix Nobel de la paix 1926 avec G. Stresemann.
 
Le 10 juillet 1940, Joseph Caillaux vote les pleins pouvoirs au maréchal Pétain. Ce digne représentant de la gauche, auteur d’avancées dont les syndicats sont si fiers n’était autre qu’un traître durant la Seconde Guerre mondiale, ce que tout le Monde savait… Et l’homme qui a certainement le plus fait, avec ses amis socialistes, pour soutenir le maréchal Pétain et le porter au pouvoir ! Ce n’est pas moi qui ai écrit l’histoire… Même si elle dérange certains, elle doit être connue !
 
Chaque fois qu'un problème monétaire se pose, tous les gouvernements qui se sont succédé ont fait appel à de nombreux spécialistes de l'économie (Caillaux ne fut pas le seul, plus récemment nous trouvons Valéry Giscard d'Estaing, Raymond Barre, Laurent Fabius, Dominique Strauss-Kahn, etc..). Tous ont échoué. Aucun n'est parvenu à équilibrer durablement le budget, et nous connaissons actuellement (2023) des records d’incompétence avec le gouvernement Macron et des déficits catastrophiques. Tous ces spécialistes n'ont pas cessé d'augmenter les pressions fiscales (les plus fortes au niveau mondial, triste record), de compliquer à outrance la législation et de pratiquer une politique de discrimination qui se solde par les injustices que nous connaissons et des multitudes de faillites.
 
La politique économique n’est jamais simple à comprendre, d’autant moins que les financiers cultivent la secrétivité maximale. Si le peuple savait tout, il se révolterai m’avait répondu un ancien ministre ! Les fondements théoriques des politiques économiques mises en œuvre sont rarement indiqués par les décideurs publics. Parfois, cependant, un gouvernement justifie sa politique en se référant explicitement à un corps de théorie : les initiatives budgétaires et fiscales de l’administration Kennedy-Johnson aux États-Unis, par exemple, entre 1961 et 1965, qui voulaient être l’expression moderne du message. Dans la plupart des cas, les décisions de politique économique ne s’appuient pas ouvertement sur des théories précises, et l’économiste doit déceler leur cohérence interne et leur éventuelle filiation doctrinale.
 
L’imputation de fondements théoriques à telle ou telle mesure de politique économique est un exercice périlleux : d’une part, il peut s’introduire des écarts entre le discours de l’homme politique et le sens réel de ses actions (exemple d’un gouvernement ultra-keynésien dans ses propos qui met en œuvre une politique économique monétariste, ou l’inverse) ; d’autre part, l’économiste, habitué par la microéconomie à des exercices sur la rationalité du consommateur ou du producteur, risque de prêter à l’État une cohérence et une efficacité dont son comportement est parfois dépourvu.
 
En économie, les théories Keynésiennes reposent sur les concepts de John Maynard Keynes (1er baron), né à Cambridge en 1883 et mort à Firle, dans le Sussex, en 1946. C’était un économiste et financier britannique. Bousculant les théories économiques classiques, secouant les routines gouvernementales, analysant avec acuité la grande crise sociale de son temps, Keynes apparaît pour certains comme un économiste de génie pouvant prendre rang aux côtés d’Adam Smith ou de Karl Marx. Auteur d’un Traité sur la monnaie (1930) et de la Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie (1936), Keynes s’attache à montrer comment le capitalisme contemporain engendre le chômage permanent et comment l’État peut, et doit, y remédier, en favorisant les investissements publics et privés, ainsi que la propension à la consommation par une politique de redistribution des revenus. La pensée keynésienne a innové par l’étendue de l’analyse (quantités globales), et en mettant l’accent sur des variables essentielles (investissement, consommation, taux d’intérêt, épargne).
 
La crise, depuis 1972-1973, a provoqué un double mouvement dans l’horizon de la politique économique. Elle a suscité, selon l’esprit de la démarche alors suivie par le Club de Rome, une extension de certaines projections sectorielles : des projections démographiques, énergétiques, etc., ont été tentées à des horizons de vingt ou vingt-cinq années. En même temps, l’horizon de la politique économique globale s’est plutôt rapproché. La crise n’a pas provoqué un renouveau de la planification indicative dans les pays occidentaux qui connurent dans les années soixante des expériences éphémères (Grande-Bretagne, Italie) ni un regain de l’ardente obligation que devait être le plan français.
 
Les propositions de quelques économistes et hommes politiques américains visant à instaurer auprès de la Maison-Blanche un Économique Planning Board ont fait long feu. La volonté de dépasser la distinction entre le conjoncturel et le structurel ne s’est pas traduite par une intégration plus poussée de la politique conjoncturelle et de la planification. Elle est apparue dans les méthodes d’analyse employées par les décideurs publics : analyse du marché du travail grâce à des modèles qui précisent la portée de la distinction entre le chômage conjoncturel et le chômage structurel ; élaboration de prévisions macroéconomiques s’appuyant sur des modèles économétriques de court moyen terme
 
Selon certains experts, la politique économique doit mettre en œuvre un dosage subtil entre les effets d’annonce et les effets de surprise. Un effet d’annonce apparaît lorsqu’une décision publique altère les anticipations des agents non étatiques, préalablement à tout effet mécanique. Prenons l’exemple de la politique monétaire.
 
Les modifications du taux d’escompte de la banque centrale engendrent des effets d’annonce. Depuis 1974-1975, ceux-ci naissent également de l’affichage public d’objectifs de croissance des agrégats monétaires, qu’il s’agisse de fourchettes souhaitées (États-Unis) ou de chiffres uniques (cas de la R.F.A. à partir de 1974 ; de la France depuis la fin de 1976), qu’il soit question de normes annuelles non révisables (France et R.F.A.) ou de normes annuelles révisées tous les trimestres grâce à une programmation monétaire glissante (États-Unis), etc.
 
Les experts du rapport McCracken suggéraient d’étendre le jeu des effets d’annonce de deux manières :
· En les associant également à la politique budgétaire et fiscale : les pouvoirs publics fixeraient des normes publiquement affichées pour la croissance des dépenses publiques et le solde budgétaire ; 
· en élargissant leur horizon temporel : la fixation de normes pluriannuelles dans les domaines monétaire et budgétaire aurait pour fonction de stabiliser les anticipations des agents non étatiques.
 
La politique économique a-t-elle intérêt à dévoiler clairement ses intentions ? Un courant, développé sous l’impulsion de R. Lucas et T. Sargent, et qualifié par J. Tobin de nouvelle macroéconomie classique, prétendent que, de toute manière, le public anticipe parfaitement les inflexions de la politique économique.
 
Les politiques discrétionnaires, déjouées par les anticipations rationnelles des entreprises et des ménages, seraient vouées à l’inefficacité. La théorie des anticipations rationnelles soulève de nombreuses questions. Elle justifie, non pas l’inaction ou des politiques automatiques, mais des mesures encore plus discrétionnaires : les pouvoirs publics doivent contrarier les anticipations rationnelles grâce à des interventions inopinées, créatrices d’effets de surprise.
 
Quels sont les fondements théoriques des politiques industrielles ? Je crois utile d’ajouter quelles que précisions concernant nos difficultés présentes avant d’aborder les conceptions du R.P.L.
 
Depuis le milieu des années soixante, la politique industrielle sert principalement à assurer la compétitivité externe des économies. La crise, depuis 1972-1973, a suscité le thème du redéploiement industriel, impliquant l’abandon délibéré de certaines productions et l’encouragement tout aussi délibéré donné à d’autres.
 
Les fondements analytiques de la politique industrielle intersectorielle que suppose le redéploiement ont été fournis par des méthodes multicritères, visant à déterminer les secteurs à encourager. Les analyses multicritères, qui tiennent compte du caractère progressif ou au contraire régressif de la demande mondiale des diverses productions, des effets d’entraînement, de l’impact sur l’emploi, etc., mettent en lumière les spécialisations internationales favorables. La liaison entre la politique industrielle et la spécialisation internationale, bien mise en évidence par C. Stoffaës, est d’autant plus intéressante que la théorie de la spécialisation internationale a elle-même évolué. La spécialisation intrabranche est venue compléter et nuancer l’analyse traditionnelle de la spécialisation interbranches
 
La spécialisation intrabranche vise le cas où un pays exporte et importe en même temps des produits voisins, différant par quelques caractéristiques, mais non distingués dans les nomenclatures de produits les plus fines. Cette analyse pourrait laisser entendre que les décideurs publics disposent à l’heure actuelle des instruments d’analyse leur assurant une maîtrise convenable de la conjoncture. Telle n’est pourtant pas la réalité, comme l’indique l’extension de la stagflation dans les pays de l’O.C.D.E. jusqu’au début des années quatre-vingt : l’accroissement du chômage s’y est accompagné d’une accélération de l’inflation, contrairement aux arbitrages entre plein-emploi et stabilité des prix exprimés par les courbes de Phillips.
 
La querelle entre monétaristes et keynésiens a occupé, depuis le début des années soixante, le devant de la scène. Or, malgré des contributions souvent remarquables, elle dégage une impression de confusion. Quel est le terrain exact de la querelle ? Pour Milton Friedman (né à New York, 1912, économiste américain ; chef de l’école de Chicago ; sa théorie néolibérale rattache les fluctuations de l’économie aux variations de l’offre de la monnaie : Prix Nobel d’économie en 1976) et D. Meiselman (1963), la vitesse de circulation de la monnaie est nettement plus stable, en longue période, que le multiplicateur de revenu keynésien. En ce sens, l’école monétariste se croit fondée à postuler la stabilité de la fonction des demandes de monnaie, ou du moins une stabilité plus grande que celle de la fonction d’investissement ou de consommation.
 
Franco Modigliani (né à Rome, 1918, économiste américain d’origine italienne, keynésien, il a consacré ses travaux à l’économétrie ; Prix Nobel d’économie 1985), en 1977, déplaçait à juste titre le terrain de la querelle, en opposant ceux qui jugent déstabilisantes les politiques économiques discrétionnaires (les monétaristes) et ceux qui croient en l’efficacité des mesures discrétionnaires (les keynésiens). Une présentation trop simple de la querelle consiste à opposer la politique budgétaire et fiscale privilégiée par les keynésiens à la politique monétaire semi-automatique prônée par les monétaristes.
 
Le clivage est moins net que cela car les deux partis soulignent l’imbrication étroite des deux politiques (exemple d’un découvert budgétaire financé par création monétaire) et leur souhaitable complémentarité. Considérons à présent les déséquilibres économiques et les incertitudes de la politique économique.
 
Le développement de la théorie du déséquilibre (J.-P. Benassy, 1976, C. de Boissieu, A. Parguez et P. Zagamé, 1977) fournit de nouveaux arguments à la théorie de la politique économique. Ce courant s’est en particulier préoccupé de dégager les fondements micro-économiques de la macroéconomie. Les modèles de déséquilibre permettent d’expliquer le chômage involontaire, l’inflation et les mouvements des prix relatifs, les déplacements et déformations au cours du temps des courbes de Phillips, etc.
 
Les courbes de A. Phillips datent de 1958. Elles mettent en évidence que les choix de politique économique sont influencés par les anticipations des pouvoirs publics. Ils sont en même temps dépendants des prévisions des agents non étatiques. 
 
La célèbre relation entre le taux de chômage et le taux d’inflation, mise en évidence par A. Phillips, place l’arbitrage entre le plein-emploi et la stabilité des prix au centre des politiques de stabilisation. La diminution du chômage ne pourrait être obtenue qu’au prix d’une accélération de l’inflation, et vice versa, ce qui n’a jamais été prouvé. Friedman, en 1968, a voulu montrer que l’introduction des anticipations modifie les conclusions de l’analyse. À court terme, les salariés et les entrepreneurs commettent des erreurs dans leurs anticipations de prix et de salaires nominaux. Ils les corrigent à long terme : on ne peut tromper tout le Monde tout le temps, dit M. Friedman en citant la formule de A. Lincoln. 
 
La courbe de Phillips de long terme devient une verticale. L’exactitude des anticipations de prix et de salaires nominaux fait que le chômage effectif ne peut s’écarter durablement du taux de chômage naturel, et que toute tentative des pouvoirs publics pour le ramener en deçà du niveau naturel est inefficace et se traduit en définitive par une accélération de l’inflation.
 
Dans leur forme actuelle, ces modèles ne sont en général pas assez perfectionnés pour expliquer la conjugaison des divers déséquilibres. À cet effort de renouvellement il faut associer les analyses récentes du marché du travail. La dissociation des marchés externes (ceux de la théorie économique traditionnelle) et des marchés internes (à la firme) du travail, l’étude du dualisme de la main-d’œuvre et de la segmentation du marché en résultant ont jeté des ponts entre la microéconomie et la macroéconomie, et ont transformé l’analyse économique de l’emploi et du chômage.
 
Nous constatons que cette nouvelle direction de recherches n’a pas fourni jusqu’à présent de normes incontestables à la politique économique. La théorie du déséquilibre, qui se trouve associée depuis 1965 à l’interprétation moderne de l’analyse keynésienne, n’a pas pour l’instant permis d’endiguer les divers déséquilibres.
Les incertitudes
La floraison des modèles économétriques a alimenté des controverses relatives à trois aspects liés : Quels sont les délais d’action des mesures discrétionnaires ?

Quels sont les impacts respectifs de la politique économique sur les prix et sur l’activité économique ? Les modèles économétriques élaborés aux États-Unis, en France, etc., confirment que la politique monétaire, qu’elle soit expansionniste ou restrictive, agit d’abord sur l’activité économique (production et emploi) avant d’influer sur les prix. Mais l’incertitude relative au partage exact entre l’effet-prix et l’effet-volume doit accroître la prudence des autorités monétaires ; la politique économique est-elle stabilisante ou déstabilisante ?

La querelle monétaristes-keynésiens nous a déjà suggéré qu’il est ici question de croyance plutôt que de science. Il suffit, à titre d’exemple, de rappeler les controverses à l’époque suscitées par les politiques conjoncturelles expansionnistes de 1970 à 1972, ou par la politique de relance décidée en France durant l’année 1975.


Une instabilité accrue
Le système de Bretton-Woods a laissé la place, depuis mars 1973, à une nouvelle expérience de flottement des changes. Le flottement, en pratique, est impur puisque les banques centrales interviennent activement sur le marché des changes.

Que les changes flottants semblaient beaux en période de changes fixes ! En effet, les théoriciens défendaient deux propositions :

- Le régime de changes flottants accroît l’autonomie de chaque politique économique nationale : l’ajustement des taux de change sert de substitut, au moins partiel, à l’ajustement des prix ou de l’activité interne.
- Les variations des taux de change sont rééquilibrantes, parce que, après une période transitoire où les effets pervers prédominent les effets normaux favorables l’emportent (courbes en J).

L’expérience contemporaine de flottement des monnaies a mis en question ces thèses. D’une part, les changes flottants n’ont pas accru, mais plutôt diminué l’autonomie de chaque politique nationale (les partisans des changes flottants soutiennent que cela résulte du caractère impur du flottement). D’autre part, les effets pervers des variations du change l’ont emporté sur les effets normaux

Les organisations internationales ont distingué les pays soumis au cercle vicieux (dépréciation de la monnaie X accélération de l’inflation X nouvelle dépréciation) et les pays connaissant un cercle vertueux grâce à l’appréciation de leur monnaie.


Politiques des prix et des revenus

Dans la plupart des pays de l’O.C.D.E., les phases de contrainte administrative et de libéralisme alternent dans la régulation des prix et des revenus, signe que la politique des prix et de la concurrence est un instrument de lutte contre l’inflation.

La théorie économique a dégagé dans les années soixante les outils capables de fonder une politique des revenus : les comptes de surplus (en France, ceux élaborés par le C.E.R.C.), le triangle des revenus de P. Massé, etc.

Ce perfectionnement analytique, loin de susciter une relance de la politique économique, s’est accompagné d’un déclin progressif des politiques des revenus mises en place durant les années soixante. De nombreux pays ont successivement essayé, sans grand succès, les diverses formes de politique des revenus réglementaire, contractuelle, incitative ou indicative. Les expériences contemporaines inciteraient à penser que la politique des revenus n’est pas socialement acceptable lorsqu’elle est économiquement efficace. Il s’agit là d’un propos qui appelle l’innovation plutôt que l’inaction.



Sélectivité de la politique économique
Certaines mesures discrétionnaires sont, par nature, sélectives. Tel est le cas de la politique industrielle. D’autres mesures le deviennent par choix délibéré. Prenons l’exemple de la politique monétaire. Elle peut être sélective à plusieurs égards, en distinguant les types d’établissements financiers, les types de crédits, les secteurs bénéficiaires des ouvertures de crédits, etc.

Il est difficile de savoir si le degré de sélectivité des politiques économiques a augmenté depuis dix ans, parce qu’il n’existe pas de mesure indiscutable de la sélectivité. La sélectivité de la politique économique est souvent justifiée. Elle voit son efficacité limitée par des phénomènes de compensation : les crédits non encadrés connaissent une croissance anormalement rapide pendant les phases d’encadrement du crédit, etc. La sélectivité n’est plus acceptée par les agents non étatiques lorsque, poussée trop loin, elle remet en cause le principe, non écrit mais bien ancré dans les esprits, de l’égalité devant la politique économique.

Pour l’instant, la sélectivité s’appuie rarement sur des analyses fournies par les théoriciens. Elle justifie le développement de la méso-économie, s’appuyant sur des niveaux d’analyse intermédiaires entre l’unité individuelle et l’ensemble de l’économie (exemples de niveaux intermédiaires : les branches, les secteurs, les régions, etc.). À cette condition, l’économiste pourra fournir une contribution au délicat problème de la sélectivité optimale de la politique économique.



1998, fin d’un cycle, début d’une nouvelle ère
L’économie mondiale est entrée en 1998 dans une zone de haute instabilité, lourde de menaces tant pour la poursuite de la croissance dans les pays occidentaux que pour l’avenir du processus de globalisation de l’économie. L’opposition conjoncturelle entre la récession profonde dans laquelle s’enfoncent le Japon et une partie de l’Asie en développement, d’une part, et la bonne santé apparente des économies européennes et américaines, d’autre part, masque mal en effet la puissance déstabilisatrice de l’onde dépressive qui s’est propagée tout au long de l’année depuis le Sud-est asiatique vers l’Amérique latine en passant par la Russie, avant de faire sentir ses premiers effets en Europe.

La dimension systémique du phénomène de contagion financière n’a été que tardivement appréhendée par les dirigeants des grands pays industrialisés. L’idée que la conjoncture occidentale, portée par le dynamisme de la consommation aux États-Unis et la perspective de l’union monétaire en Europe, pouvait rester imperméable aux effets de la crise asiatique, devenue entre-temps crise financière internationale, a continué de prévaloir un temps, en dépit du savoir accumulé sur l’intensité du processus d’intégration économique mondiale. Ce n’est qu’à l’automne qu’une stratégie anticrise devait prendre forme aux États-Unis, et susciter un certain écho au Japon, puis en Europe.

Si elle marque la fin d’un cycle financier, la crise des économies émergentes n’en coïncide pas moins avec l’avènement d’une nouvelle ère monétaire, dont témoigne la création en juin de la Banque centrale européenne, la délimitation de l’Euroland et la décision historique prise en décembre par les onze banques centrales des pays constituant cette zone de baisser simultanément leurs taux d’intérêt un mois avant le passage à la monnaie unique. Initialement locale, la crise ouverte par la dévaluation du bath Thaïlandais en juillet 1997 s’était diffusée en fin d’année à la majeure partie des économies dynamiques d’Extrême-Orient (Chine et Taïwan exclues) avant de se propager en 1998 aux autres économies émergentes. Au niveau régional d’abord, la crise qui a déstabilisé la Thaïlande, l’Indonésie, Hong Kong, la Corée du Sud, la Malaisie et, dans une moindre mesure, les Philippines et Singapour peut être décrite comme une crise d’engorgement financier.

Depuis le début de la décennie, ces pays bénéficiaient d’un afflux de capitaux hors de proportion avec leurs capacités d’absorption. L’attrait des marchés financiers locaux pour les investisseurs étrangers résultait à la fois du vaste mouvement de libéralisation financière encouragé par les institutions internationales (F.M.I. et Banque mondiale) et du dynamisme économique extraordinaire de la région dans son ensemble. L’atonie de la croissance en Europe pendant la majeure partie de la décennie et la récession japonaise libéraient par ailleurs une épargne considérable que les fonds de placements internationaux canalisèrent massivement vers ces nouveaux paradis financiers. De 1990 à 1996, pas moins de 500 milliards de dollars en termes nets furent ainsi prêtés, placés ou investis dans les pays d’Extrême-Orient (Chine incluse).

La rentabilité de ces placements et investissements était logiquement conditionnée par la stabilité des taux de change des pays de la région vis-à-vis du dollar américain. Celle-ci ne pouvait toutefois être assurée que tant que les déficits des balances courantes étaient maintenus dans des limites raisonnables et que la compétitivité des économies locales était préservée. Ces deux conditions, étroitement interdépendantes, ont cessé d’être respectées dans un certain nombre de pays à partir du milieu de la décennie.

La compétitivité des économies d’Asie du Sud-est et de la Corée du Sud fut tout d’abord affectée par la dévaluation de 50 % du yuan chinois en 1994. Devenue en l’espace de quinze ans un compétiteur redoutable sur une large partie des créneaux industriels occupés par les pays de la région, la Chine n’a pas hésité à dévaluer sa monnaie dès que les premiers signes de déséquilibre extérieur sont apparus en 1993. Moyennant quoi, son solde courant est repassé les années suivantes dans une position confortablement excédentaire, en dépit d’une croissance rapide.

Un second développement monétaire profondément déstabilisant pour les économies de la région fut la remontée du dollar par rapport au yen à partir du printemps 1995. La plupart des pays de la région pratiquant une politique de change fixe par rapport au dollar, l’appréciation de ce dernier a miné la compétitivité de leurs exportations par rapport aux produits japonais et européens. Conjuguée au creusement des déficits courants, l’appréciation des taux de change réels devait saper la confiance dans la pérennité des parités en vigueur et provoquer tôt ou tard la fuite des capitaux.

Elle devait aussi jouer un rôle important dans la propagation régionale de la crise. Dans un contexte de forte intégration régionale, la chute des monnaies les plus faibles était en effet synonyme d’appréciation réelle pour les autres monnaies de la région, qui devenaient ainsi de plus en plus exposées aux attaques spéculatives.


Crise globale
 À cet effet de contagion monétaire s’ajoute un effet de contagion financière, les pertes enregistrées dans un pays à la suite d’une dévaluation encourageant les opérateurs à se désengager des marchés perçus comme les plus exposés au risque de change. Auto-entretenue par les comportements mimétiques des agents, la fuite des capitaux provoque l’effondrement des réserves de change, qui entraîne celui des taux de change.
Celui-ci est d’autant plus brutal que les placements financiers à court terme jouaient un rôle important dans le financement extérieur passé et que le processus de libéralisation financière était avancé. De façon significative, la Chine et Taïwan, qui ont réussi à préserver une position courante excédentaire et qui n’ont pas démantelé leurs contrôles des changes, ont été épargnés par la crise financière en 1998. La dévaluation des monnaies locales, qui a pu atteindre 80 % dans le cas de l’Indonésie, place à son tour des pans entiers de l’économie et notamment des systèmes financiers en situation de faillite virtuelle.

En Thaïlande, en Indonésie et en Corée du Sud, la cessation de paiement n’a pu être évitée que par l’intervention de la communauté financière internationale, qui a dû mobiliser en un temps record plus de 100 milliards de dollars. L’action correctrice exigée par le F.M.I. en contrepartie du soutien international a accru à son tour la spirale récessive. Fidèle à sa conception traditionnelle de l’ajustement, le F.M.I. a en effet exigé de ces pays, outre des réformes structurelles (dans le secteur financier notamment), un resserrement des politiques budgétaires et monétaires. Si ces mesures ont permis de stabiliser un temps les taux de change, leur impact déflationniste fut tel que les gouvernements de la région ont été progressivement amenés à prendre leurs distances vis-à-vis du Fonds.

En septembre 1998, la Malaisie décidait de réintroduire le contrôle des changes, s’autorisant ainsi à découpler sa politique monétaire de sa politique de change. Si elle devait se confirmer, cette évolution serait de nature à encourager à terme la création d’outils régionaux de régulation financière (le fameux Fonds monétaire asiatique proposé en 1997 par le Japon et bloqué jusqu’à présent par les États-Unis) et monétaire (un système monétaire asiatique pourrait devenir à l’ordre du jour), des outils de nature à remettre en cause la prépondérance des institutions de Bretton Woods dans la régulation financière internationale.

L’autre vecteur essentiel de diffusion de la crise asiatique est son impact sur le commerce mondial. Cet impact est double. Il porte à la fois sur le volume des échanges, dont la croissance est passée de 10 % en 1997 à moins de 4 % en 1998, et sur les prix des produits de base. Les cours des matières premières, exprimés en dollars, ont ainsi chuté de près de 15 % en 1998 tandis que le prix du pétrole s’effondrait, de 20 dollars le baril à l’automne 1997 à moins de 10 dollars à la mi-décembre 1998.

Reliant l’Orient à l’Occident, la Russie n’avait certes pas besoin des retombées de la crise asiatique pour susciter les inquiétudes les plus sérieuses. Dépendant depuis plusieurs années des capitaux étrangers pour financer un déficit budgétaire considérable, elle subit de plein fouet la chute du prix du pétrole et la contraction des marchés asiatiques, qui absorbaient jusque-là la majeure partie de son acier. À la mi-août 1998, soit moins d’un mois après la signature d’un accord avec le F.M.I. portant sur 22 milliards de dollars de nouveaux crédits, la spéculation se déchaînait contre le rouble, qui était dévalué et perdait en quelques semaines 75 % de sa valeur. Simultanément, les autorités déclaraient un moratoire sur une partie de la dette extérieure, provoquant la suspension des crédits du F.M.I.

À peine le domino russe était-il tombé que les marchés portaient leur attention sur un autre gros débiteur en difficulté : le Brésil. Début septembre, le real brésilien était attaqué et les efforts de la Banque centrale pour le défendre faisaient fondre les réserves de change au rythme de 1 milliard de dollars par jour.

La défiance se généralisait alors vis-à-vis de l’ensemble des marchés émergents, provoquant la quasi-faillite de Long Term Capital Management, L.T.C.M., l’un des principaux fonds de placement américain. Déstabilisées par la montée des rendements exigés sur une partie des titres à long terme, affolées par le pessimisme des prévisions sur l’économie mondiale, les bourses s’effondraient. Aux États-Unis, Wall Street perdait, à la fin d’août, plus de 10 %, soit la chute la plus brutale depuis l’invasion du Koweït par l’Irak en août 1990. En Europe, la baisse approchait 20 %.

Si certains doutes pouvaient subsister concernant le caractère systémique de la crise des marchés émergents, l’asséchement des marchés financiers mondiaux en septembre 1998 devait les balayer. Fort logiquement, la réaction devait venir du conseil de la banque d’émission de la monnaie internationale, la Réserve fédérale américaine (Fed). À trois reprises en moins de deux mois, la Fed décidait d’abaisser son taux d’intervention d’un quart de point, donnant à la politique monétaire une orientation a priori peu orthodoxe au regard des données immédiates de la conjoncture américaine.

À l’automne de 1998 en effet, le taux de chômage était aux États-Unis à son plus bas niveau depuis la fin des années 1960 (4,4 %), l’expansion se poursuivait sur un rythme rapide et le déficit courant ne cessait de se creuser. L’attitude de la Fed était cependant dictée par la situation des marchés de capitaux et la dégradation des bilans des intermédiaires financiers. La crise des économies émergentes en effet a fortement pesé sur les bilans des banques et autres institutions financières.

Compte tenu de l’ampleur des créances douteuses, celles-ci répugnent à accroître leur exposition au risque. Le crédit Crunch, situation expérimentée au début des années 1990 dans laquelle les intermédiaires financiers ne peuvent pas ou ne veulent pas prêter, menaçait à nouveau. La baisse des taux d’intérêt à court terme permettait de parer à ce risque en évitant que l’ajustement sur les marchés financiers se fasse par une remontée générale des taux longs.

Simultanément, elle entraînait une baisse du dollar qui donnait un ballon d’oxygène aux entreprises américaines face à la compétition asiatique. Elle soulageait enfin la situation des économies émergentes dont les dettes sont libellées en dollars. Pour que les choses soient bien claires, la Fed organisait fin septembre le sauvetage de L.T.C.M., le fameux hedge fund comptant dans sa direction les deux Prix Nobel d’économie de 1997, dont l’exposition au risque était estimée à plus de 100 milliards de dollars, investis un peu partout dans le monde.

La confiance ne pouvait toutefois être restaurée sur les marchés financiers que si la vague de panique déclenchée par le moratoire russe était enrayée. L’action de la Fed était relayée sur ce point par l’intervention du Trésor américain en vue de stopper l’hémorragie financière dont était désormais victime le Brésil. Cela supposait de renflouer les caisses du F.M.I., vidées par les interventions successives en Thaïlande, Corée du Sud, Indonésie et Russie. Début octobre, le Congrès américain, après une longue obstruction, votait la participation américaine (18 milliards de dollars) à l’augmentation des ressources du Fonds (90 milliards en tout) décidée un an plus tôt en septembre 1997.

Début novembre, les pays du G7 décidaient de doter le F.M.I. d’une nouvelle facilité financière destinée aux pays exposés à un risque de contagion financière internationale et poursuivant des plans d’ajustement sous la conduite du Fonds.

Le 14 novembre, un accord était signé avec le Brésil par lequel le F.M.I., la Banque mondiale, les États-Unis et d’autres pays mettaient à la disposition de Brasilia 42 milliards de dollars. La diffusion de la crise financière était enrayée, tandis que le gouvernement brésilien s’engageait à réduire d’un tiers un déficit public estimé à 64 milliards de dollars.

Les États-Unis s’employaient enfin à convaincre les autres membres du G7 de contribuer au rétablissement de la confiance par des mesures appropriées : plan de sauvetage des banques et relance budgétaire au Japon, baisse des taux d’intérêt en Europe. Menaçant aux États-Unis, le crédit Crunch est depuis plusieurs années une réalité au Japon.

Avec 600 milliards de dollars de créances douteuses inscrites officiellement à leurs passifs, les banques japonaises sont dans l’incapacité d’accorder de nouveaux prêts, malgré les efforts de la Banque centrale qui a réduit le taux d’intérêt au plancher historique de 0,25 %. À la suite d’intenses pressions américaines, le Parlement japonais finissait par adopter en octobre un plan de recapitalisation des banques qui pourrait se traduire par l’injection de près de 500 milliards de dollars dans le système bancaire.

À deux reprises en six semaines, le gouvernement affichait sa détermination d’assainir le système bancaire en prenant le contrôle de deux banques importantes menacées de faillite (Long-Term Credit Bank of Japan, fin octobre, et Nippon Credit Bank Ltd. en décembre). La politique budgétaire prenait aussi une orientation plus active avec la décision en novembre d’ajouter 50 milliards de dollars au budget japonais dont un volet d’aide aux pays asiatiques en difficulté.

La réponse des marchés financiers ne devait pas tarder. Stimulées par la détente monétaire aux États-Unis, la réaffirmation du leadership américain et la relance de la coopération internationale, les Bourses se redressaient vigoureusement de Hong Kong à New York. Fait non moins significatif, les pays latino-américains retrouvaient l’accès aux marchés obligataires internationaux après un an de quasi-exclusion.


Une nouvelle ère monétaire ?
Émergeant d’une longue phase d’atonie économique, l’Europe semblait avoir récolté en 1998 les premiers fruits de sa marche laborieuse vers l’union monétaire. Fortement autocentrée, l’économie européenne n’a été dans un premier temps que modestement affectée par la crise asiatique. Si la crise financière internationale n’a pas épargné les places européennes à l’automne 1998, elle a surtout mis en relief, a contrario, une certaine crédibilité du projet d’union monétaire.

Celui-ci avait enfin pris corps au printemps avec la désignation, parmi les candidats au passage à la monnaie unique, de onze pays de l’Union satisfaisant les conditions (assouplies) de convergence monétaire et financière définie à Maastricht sept ans plus tôt, avec la fixation des taux de conversion des monnaies en euro et avec la nomination des dirigeants de la Banque centrale européenne.

En d’autres circonstances, les turbulences financières de l’automne auraient été de nature à déstabiliser les monnaies les moins fortes du système monétaire européen. Au début de 1995 par exemple, la chute du dollar contre le mark avait fait plonger la lire italienne et forcé la Banque de France à relever son taux d’intérêt de plusieurs points, étouffant la reprise en cours de l’activité.

Il n’en fut rien cette fois-ci. Malgré le repli du dollar, le plus fort enregistré en un seul mois depuis quatre ans, les parités croisées des onze monnaies participant à l’union monétaire et les taux d’intérêt nationaux demeurèrent remarquablement stables. Un début de spéculation contre la lire en août fut aisément enrayé, révélant le statut nouveau conféré par les marchés à la monnaie italienne du fait de sa participation à l’euro. 

L’idée d’une insularisation de la croissance européenne ne devait toutefois pas résister aux faits. Alarmées par la multiplication des signes de ralentissement économique, encouragées par l’absence de toute pression inflationniste, pressées d’agir par leurs gouvernements respectifs, les banques centrales des onze pays composant l’Euroland décidaient début décembre de ramener simultanément leur taux d’intérêt à 3 % (3,5 % en Italie, dans un premier temps), devançant d’un mois le parachèvement de la convergence des taux.

De façon significative, le Danemark et la Suède, qui conserveront leur indépendance monétaire, suivaient le mouvement. Si l’on ajoute les réductions intervenues les mois précédents en Italie, en Espagne, au Portugal et en Irlande dans le cadre de la convergence monétaire et à la baisse des taux britanniques, la réduction effective des taux d’intérêt en Europe au cours des derniers mois de 1998 serait de l’ordre d’un point en moyenne.

Ainsi concrétisée, la détente monétaire européenne pourrait contrecarrer la tendance à l’appréciation de l’euro, qui résulte à la fois de la faiblesse du dollar et des effets de réallocation de portefeuille à l’échelle mondiale. Ces effets s’annoncent en effet particulièrement sensibles en Asie, région qui concentre une large partie des réserves mondiales de devises. Conscients de leur dépendance excessive à l’égard du dollar américain, désireux d’élargir leurs marges de manœuvre face aux pressions économiques et politiques des États-Unis, les pays de cette région pourraient favoriser la montée en puissance de l’euro en diversifiant leurs portefeuilles de titres internationaux. S’il se confirmait et prenait de l’ampleur, ce mouvement pourrait rendre plus difficile le financement du déficit croissant de la balance des paiements américaine et menacer à terme le statut de monnaie internationale du dollar.

Tout ceci n’empêchera pas l’Euro de descendre en dessous du Dollar US en décembre 1999 !



Le budget 2020 en chiffres

Ces données sont très importantes pour comprendre les conceptions du R.P.L.. Notre objectif consiste en effet à ne conserver qu’un seul mode de taxation, une sorte de T.V.A. nouvelle formule qui soit, selon notre principe égalitaire, non récupérable par certains. Ceci sous-entend aussi la suppression de la totalité des autres taxes et charges sociales. Oui, vous avez bien lu, tous les impôts et autres taxations que celle de cette nouvelle T.V.A. autorégulatrice (pour tempérer les spéculations) seront supprimées au même titre que l’ensemble des charges sociales, qu’elles soient patronales ou salariales.

Ces mesures sont indispensables pour relancer à grande vitesse, selon nous, l’emploi et l’économie du pays, il y a vraiment urgence !
Bien qu’accompagnées de la gratuité totale pour tous nos ressortissants de l’éducation nationale, de la Justice, des soins pharmaco-médicaux à des fins thérapeutiques (la médecine sera libre, chacun sera enfin libre du choix de ses modes de soins (reconnaissance de la naturopathie), à condition qu’ils soient réels et encadrés par un groupement agréé aux vues des résultats, ce qui exclura les multiples charlatans aux poudres de perlimpinpin, de pratiques occultes, etc. Ces nouvelles dispositions sont parfaitement réalistes et peuvent être concrétisées en deux ans par la suppression des gaspillages (facteur très important, qui se chiffre en milliards d’euros, et toujours passés sous silence par toutes les formations politiques actuelles, sauf parfois, timidement, par certains élus plus courageux que les autres). Une refonte totale de l’administration, en responsabilisant chacun s’impose (fin de l’État providence : dommage pour le Crédit Lyonnais et bien d’autres).

Les chiffres ci-dessous sont officiels, ils vous apportent la preuve de cette possibilité… À condition de laisser de côté l’ensemble des théories des économistes qui ont fait… la preuve de leur inefficacité ! Tous ces chiffres situent les grandes lignes des dépenses de l’État, selon les priorités déterminées par le gouvernement socialiste de M. Jospin, et plus encore par son ancien ministre qui a pris sa succession : Emanuel Macron !

Tous ces chiffres sont abstraits et assez peu significatifs de l’usage réel qui est fait de l’argent des contribuables. Ce qui est concret, c’est l’augmentation constance des impôts (il n’est pas tenu compte dans les chiffres ci-dessous, des impôts locaux et autres charges sociales… ce qui alourdirait considérablement l’addition).

Le R.P.L. effectuera une démarche inverse, c’est-à-dire que, dès la première année, une baisse d’environ 50 % de l’ensemble des impôts et charges sociales confondues s’impose pour obtenir une véritable relance de l’économie nationale et du marché du travail, le taux de chômage doit impérativement retomber dans le voisinage de 0 à 2 % maximum !

Il ne s’agit pas là de démagogie mais d’une obligation de nature à redonner à chacun un minimum de joie de vivre et de dignité, sans cela, aucune liberté réelle n’est possible en raison des frustrations que la misère et la crainte de l’avenir génèrent.

Comme vous allez le constater, j’ai analysé ce problème fondamental avec minutie. Je n’avance aucun chiffre à la légère : toutes mes données proviennent directement du ministère des finances ou de l’INSEE, le tout via Internet. Chacun peut donc les vérifier, avec un peu de patience, de telles recherches demandent parfois du temps.

Les 5 politiques majeures du budget 2020

Nos renseignements pour 2019 viennent de ce site : A cliquer
Nous trouvons ainsi, pour le coût des administrations principales : 
Éducation et Recherche : 100,9 milliards d’euros
Défense et Sécurités : 64,5 milliards d’euros
Politiques sociales : 52,8 milliards d’euros
Développement durable : 11,2 milliards d’euros
Justice : 9 milliards d’euros


Pour ceux qui souhaite connaître la situation actualisée par l’INSEE, cliquer sur ce lien pour obtenir un guide budgétaire complet.


Lorsque je parle de la suppression totale des charges sociales et de l’ensemble des impôts autres que la T.V.A. (une T.V.A. d’un nouveau type, plus souple, plus fonctionnelle et plus juste sera mise en place : explication complète dans les paragraphes suivants). Vous pouvez d’ores et déjà constater que plus de 50 % des revenus de l’État proviennent déjà de la T.V.A. actuelle… Il n’y a donc rien d’extraordinaire, pour diminuer les charges de 50 % de simplement supprimer l’ensemble des autres impôts et charges sociales !

Pourquoi ne conserver que la T.V.A. et non d’autres modes de fiscalité ?

La réponse est très simple : nous sommes un rassemblement pour la liberté, c’est-à-dire que nous considérons que le respect des libertés individuelles doit être prioritaire, or, ce respect est actuellement constamment violé par l’administration fiscale (voyez simplement les questions de vos feuilles de déclarations de revenus pour en être convaincu) et les groupements privés de para fonctionnaires que sont les Caisses d’allocations familiales, la Sécurité sociale (URSAFF, etc.) et les multiples caisses de retraites obligatoires. Tout ceci sera supprimé dès la première année par le R.P.L., mais obligation leurs sera faites de continuer à financer leurs engagements antérieurs (paiement des retraites, par exemple) jusqu’à épuisement de leurs réserves financières ! Par la suite, une compensation sera effectuée au cas par cas, pour équilibrer le budget.

Dans votre maison, par exemple, le nombre de vos salles de bains, les travaux que vous effectuerez, votre surface habitable, l’épaisseur de vos murs, etc. ne regarderont plus l’administration. Seul l’aspect extérieur et des normes de sécurités pour le gros œuvre et votre voisinage seront soumis à obligation vérifiable (non à autorisation) : pour tout le reste, vous serez libre de vous organiser chez-vous comme bon vous semblera ! Que vos chambres soient d’une superficie de 9 ou 90 m² ne regardera en rien l’administration, ni le fisc. Vous serez libre d’agir et de vous organiser comme bon vous semblera, vous serez seul responsable de vos actes, vous serez enfin traité en adulte responsable et digne de respect, personne ne pourra plus vous dicter votre conduite ou vous imposer quoi que ce soit chez vous ! Je crois que chacun commence à comprendre…

Je vous redonnerai encore quelques chiffres, pourcentages et statistiques sur les données économiques actuelles, mais au fur et à mesure et en compléments d’informations concernant les problèmes que le R.P.L. entend résoudre rapidement. Une avalanche de chiffres n’est jamais très agréable à lire, mais son apport en matière d’information est souvent très significatif, bien que rarement vraiment justes. Bien que contesté par certains, le financement le plus juste est celui du système de la Taxe à la Valeur Ajoutée (TVA), personne n’y échappe et sa mise en application est la plus simple, tout en préservant les libertés individuelles. En effet, c'est le seul système qui permette une contribution fiscale égale pour tous : plus on consomme, plus on paye, qu'importent les revenus.

Il est évident qu'avec un salaire important, chacun peut consommer davantage, mais tout le Monde sera enfin placé sur un pied d'égalité, et les fins d'année n'angoisseront plus personne : l'impôt sur le revenu, création de l’ancien parti socialiste, sera du passé ! Donc, pour financer l'État nous appliquerons, une seule taxe à la consommation, non récupérable par certains comme aujourd'hui, (ce qui constitue une injustice contraire à notre principe d’égalité). Pour un tel système, sortir la France de l'Europe constitue un impératif absolu. Que vous apporte l'Europe ? La prospérité de l'industrie allemande et de quelques multinationales françaises, du chômage, une hausse généralisée des prix et une perte de liberté extraordinaire… Qui le regrettera ?

Cela dit, les principes du RASSEMBLEMENT POUR LA LIBERTÉ font déjà leur chemin hors de nos frontières, qui sait ? Il ne faut pas rêver, ces principes sont plus conformes à l'esprit gaulois et latin (goût et besoin de libertés individuelles, esprit d'entreprise, indiscipline… qu'à l'esprit aryen (Esprit de groupe, soumission à l'autorité, discipline). Chacun, pour être heureux a besoin de travail, de s'épanouir en fonction de sa propre nature, c'est pourquoi je ne crois pas en la réussite de l'Europe. Avoir des relations de bon voisinage avec d’autres pays : oui, soumission : non. Donc pour le R.P.L., la France doit redevenir un État souverain libre et son mode de fonctionnement reposera sur une seule taxe simple à appliquer : la nouvelle TVA. Le référentiel de la comptabilité nationale est le seul qui soit commun à l’ensemble des administrations publiques et permette d’obtenir des chiffrages d’ensemble, toutes administrations publiques confondues. Ce périmètre correspond à celui des engagements européens de la France (pacte de stabilité et de croissance).

Face à la situation catastrophique des finances de la France, Bercy joue les équilibristes face aux tensions sociales et à la pression des marchés Le gouvernement a présenté ce mercredi 14 août 2024 le projet de loi de finances pour 2024 qui amorce un redressement timide des comptes publics. Il s'agit de s'adapter à un contexte social toujours tendu du fait des effets des hausses de prix, le gros des efforts sur les économies étant renvoyé à 2025. Le montant record de dettes émises l'an prochain rend toutefois l'exercice délicat.
Budget 2024 : Bruno Le Maire vante une première marche vers le désendettement : Le gouvernement a présenté les projets de budget de l'État et de la Sécurité sociale en Conseil des ministres ce mercredi. Le déficit public devrait revenir à 4,4 % de PIB l'an prochain, mais le nombre de fonctionnaires va de nouveau progresser (+8.270). Les émissions de dettes atteindront le niveau record de 285 milliards d'euros. C'est avec une certaine gravité que le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, a présenté ce mercredi matin le projet de loi de Finances pour 2024. Son septième depuis qu'il est entré à Bercy en 2017, mais dans des conditions qui s'annoncent particulièrement périlleuses. Le déficit public devrait certes revenir de 4,9 % à 4,4 % de PIB l'an prochain, mais cet objectif s'appuie sur des hypothèses jugées optimistes par le Haut Conseil des finances publiques, à la fois sur la croissance (attendue à +1,4 %), et l'évolution des recettes et des dépenses.
Nous devons répondre à un triple défi, a souligné Bruno Le Maire. La crise inflationniste la plus grave depuis les années 1970, l'impératif catégorique de désendetter le pays, et la nécessité d'investir dans les missions régaliennes, l'écologie et l'éducation. Et le ministre de l'Economie de lancer un appel à notre majorité de revenir à l'esprit de 2017. La maîtrise des dépenses publiques est un choix politique et un marqueur de notre majorité, a-t-il martelé, pointant le contraste avec des oppositions qui proposent surtout des dépenses supplémentaires. Ce budget est la première marche vers le rétablissement ambitieux de nos finances publiques, a-t-il ajouté. Toutefois, la dette serait seulement stabilisée en 2024, à 109,7 % de PIB, avant d'amorcer une décrue en 2025 (108,1 %).

Ainsi, le nouveau plan d'économies du gouvernement sous le feu des critiques. Bercy promet 12 milliards d'euros d'économies par an à partir de 2025, répartis entre l'État et la Sécurité sociale. L'exécutif précise les enveloppes allouées aux différents ministères pendant trois ans. Le Haut Conseil des finances publiques juge que cette trajectoire budgétaire manque de crédibilité C’est le moins que l’on puisse dire : durant les 6 premiers mois de 2024, l’État se permet d’accroître le déficit de la France de 285 milliards d’Euros, et d’annoncer une décrue de la dette pour 2015 tout en embauchant 8.270 nouveaux fonctionnaires ! Qui peut être assez naïf pour le prendre au sérieux, avec une telle politique la dette publique de la France ne pourra que se creuser encore davantage de plus de 300 milliards d’euros, en restant très optimiste ! Le gouvernement n’a toujours pas compris que dépenser plus que l’on gagne ne peut qu’accentuer la dette !
Bruno Le Maître
Je pense que toutes les ménagères de France, sans être diplômées de l’E.N.A. sont capables de l’expliquer au Ministre de Finance… Mais je crains qu’il puisse un jour le comprendre ! En tous cas, c’est notre logique, et pour limiter les dépenses, nous mettrons, pour commencer, un terme aux gaspillages et autres dépenses inutiles, comme par exemple, l’entretien de hauts fonctionnaires grassement payés… sans en embaucher des centaines d’autres. Le R.P.L. fera exactement le contraire : nous réduirons, tant que la dette ne sera pas épongée, les crédits et subventions, les dépenses inutiles, stabiliserons notre monnaie (le franc, en l'indexant sur l’étalon or, comme voulait le faire le Général de Gaulle), en résumé, nous ferons le maximum pour réduire les dépense de la France à un taux le plus bas possible, en dessous de ses revenus (P.I.B.), pour que la différence puisse enfin réduire la dette de l’État, autrement que par un baratin ridicule !

Aujourd’hui ; on distingue habituellement quatre sous-secteurs au sein de l’ensemble de l’administrations publiques (APU) :
l’État et les organismes divers d’administration centrale (ODAC) : ces deux sous-secteurs réunis composent l’ensemble des administrations publiques centrales. 
les administrations publiques locales (APUL) qui incluent l’ensemble des collectivités territoriales mais aussi les organismes divers d’administration locale 
les administrations de sécurité sociale (ASSO) qui regroupent les ODASS 
l’ensemble des régimes d’assurance sociale : régime général et régimes spéciaux de Sécurité sociale, régimes de retraite complémentaire ou assurance-chômage.

En 2020, le déficit public au sens de Maastricht atteint le niveau historique de 9,2 % du produit intérieur brut (PIB). L’épidémie de Covid-19 et la récession économique qui en résulte sont à l’origine de ce creusement. Les recettes publiques diminuent avec le recul de l’activité. Leur baisse est un peu moins prononcée que celle du PIB en valeur, si bien que, exprimées en proportion de celui-ci, elles augmentent légèrement. Les dépenses augmentent nettement avec les mesures de soutien à l’économie et à l’emploi (encadré). Ainsi, le besoin de financement des administrations publiques atteint 212,0 milliards d’euros et augmente de 137,3 milliards d’euros par rapport à 2019. L’État et les administrations de sécurité sociale, qui supportent la majeure partie du coût des mesures de soutien d’urgence, contribuent à cette détérioration du solde pour respectivement 71,3 milliards d’euros (hors reprise de la dette de SNCF Réseau par l’État) et 63,3 milliards d’euros. Le solde des organismes divers d’administration centrale s’améliore légèrement, de 0,5 milliard d’euros (hors reprise de dette de SNCF Réseau), alors que celui des administrations publiques locales se dégrade de 3,1 milliards d’euros. 
En 2020, les recettes publiques chutent de 5,0 % par rapport à 2019. Les prélèvements obligatoires, en recul de 4,1 %, se sont moins contractés que l’activité en valeur (– 5,5 %). Le taux de prélèvements obligatoires augmente de 0,7 point : il s’établit à 44,5 % du PIB en 2020, après 43,8 % en 2019. Cette résilience des prélèvements obligatoires à la crise s’explique par les caractéristiques spécifiques de certains impôts : retards du fait de la mécanique de l’impôt, assiettes peu sensibles au cycle économique (impôts locaux notamment), bonne résistance des revenus des ménages.
Les mesures nouvelles contribuent à augmenter les prélèvements obligatoires de 5,1 milliards d’euros. L’extinction du CICE, après le cumul transitoire du dispositif avec les allégements de cotisations sociales en 2019, explique ce rebond. À l’inverse, les principales autres mesures nouvelles contribuent à diminuer les prélèvements obligatoires : réforme du barème de l’impôt sur le revenu, poursuite de la suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales et poursuite de la baisse du taux d’impôt sur les sociétés (IS) de 33 % à 25 %, trois mesures décidées avant le début de la crise sanitaire.
 

Stop aux gaspillages
Comme les choses évoluent très vite, il est bon de préciser qu’au mois d’août 2024 que le montant de la dette publique de la France a dépassé un montant de trois mille milliards d’euros (3.300.000.000.000 €) ! Il est vraiment très urgent de virer les profiteurse au pouvoir et de rétablir l’équilibre, ce qui ne sera pas une petite affaire, mais avec une volonté politique très ferme, rien n’est impossible, mais sans perdre son temps à discutailler… sans enrichir les multimilliardaires de la mondialisation prêts à corrompre les politicards véreux et sans scrupules, allant jusqu’à menacer la vie de milliers de personnes, avec l’argents des contribuables ! 

En disant ça, je vise surtout l’administration, au risque de déplaire aux hauts fonctionnaires. Qu'importe que 3 % des Français se sentent visés, puisqu'ils le sont effectivement…Bien entendu, tous les fonctionnaires ne sont pas concernés, nombreux sont ceux qui subissent également un système particulièrement discriminatoire, notamment ceux qui travaillent réellement, souvent dans des conditions particulièrement pénibles : employés de service, facteurs, agent EDF ou des ponts et chaussées (déneigement), etc. Oui, je répète : il faut arrêter le gaspillage !
 
Avec le R.P.L., il en sera Fini des chauffeurs de Maître aux inspecteurs des Postes, de l'Éducation Nationale ou autres administrations. Un inspecteur qui n'est pas capable de conduire aura toujours la possibilité de se recycler dans une profession sédentaire. Je signale en passant que le ministère de la Justice fait exception. Il n'est en rien concerné par ce genre d'abus bien au contraire : les Magistrats n'ont même pas de voiture de fonction et se déplacent souvent en train ou avec leur véhicule personnel : dans cette Administration, les véhicules de service voisinent un pour cinquante Magistrats alors que les Magistrats en ont réellement besoin pour leurs fonctions ce qui activerait un peu les procédures. 
 
Finis ces établissements de grand-luxe dont disposent quelques bureaucrates sans intérêt pour la société (voir les subventions abusives). 
 
Les caisses de sécurité sociale et celles d'allocations familiales supprimées, leurs bâtiments seront affectés, à la création de nouvelles écoles ou à la mise en place de zones d'activités municipales. Le service militaire n'étant plus obligatoire (remplacé par le service national universel), l’affectation de bâtiments à d'autres usages permettra aussi de réaliser des économies.
 
Des économies très importantes seront réalisées sur les chantiers d'État (autoroutes, bâtiments, etc.) grâce à des adjudications saines et sérieuses, avec obligation pour les entreprises de respecter leurs propres devis et durées (finis les devis triplés lors des facturations, les adjudications par copinage : information directe de toutes les entreprises, toutes les propositions seront rendues publiques). 
 	Finis les 3 à 6 chefs (trop payés le plus souvent) par employé (sous payé généralement). 
	Finis les salaires attribués à des milliers de fonctionnaires sans affectation !
 	Dans un second temps, dans les 4 à 10 mois, nous mettrons en place le système d'imposition simplifié au maximum pour réduire les frais de gestion.
	Finie aussi l'irresponsabilité des fonctionnaires et la garantie de fonction à vie (Des incapables trop payés sont ruineux pour ceux qui travaillent). Les diplômes, nous le savons, n'apportent pas la preuve du sérieux d'un employé, mais simplement une présomption de compétence, de moins en moins évidente !
 	Finis les gaspillages dus à l'incompétence des services chargés des travaux publics : Exemple que chacun a pu constater dans toute la France : Une route à peine terminée ouverte pour le passage d'un câble téléphonique, puis, nouveau chantier pour le passage d'un égout, puis c'est l'adduction d'eau qui ouvre la même portion de route, etc. Alors que tout aurait pu être fait en une seule opération à moitié prix et avec beaucoup moins de nuisances, avec pour finir une route correcte et non ces routes à empiècements laids et inconfortables. Un tel travail de goujat que certains chefs de travaux ont intérêt à faire (Ils touchent une prime en pourcentage sur le montant des prix des travaux tout s'explique mais c'est encore le contribuable qui paie). La mise à pied de tels saboteurs et de l'ensemble des responsables doit être la meilleure solution ?
 	Fini le déclassement de matériel d'entretien neuf ou presque (Mines, Chemins de fer, Électricité, etc.), décidé par quelques fonctionnaires (toujours hauts placés) et envoyé à la ferraille chez des récupérateurs attitrés (la magouille des pots de vin marcherait très fort dans ce domaine, mais c'est encore le contribuable qui trinque).
	Finis les achats par l’administration de matériels sur facturés (très fréquents).
 	Finies encore les subventions versées à certains privilégiés. Les Français ne seront plus un peuple d'assistés, passifs, à attendre que d'autres travaillent à leur place. Chacun assumera ses responsabilités, qu'elles soient positives ou négatives. Blocages de l’assistanat des migrants sans contrat de travail (et retour obligatoire dans leurs pays d’origine). Je vais arrêter là cette petite liste de citations. Un livre entier ne suffirait pas pour vous citer tous les gaspillages de l’administration. 
 
Dans un premier temps, nous débarrasserons l'État de ces services parasites qui étouffent les travailleurs. 
Dans un second temps, dans les 4 à 10 mois, nous mettrons en place le système d'imposition que nous allons voir à présent.
Dans un troisième temps, nous réajusterons la fiscalité, avec l'accord du peuple, en suivant les conseils et propositions du nouveau Conseil d’État élus directement par le Monde du travail, pour équilibrer au mieux le budget. 
 
Avec le R.P.L., ce sera la fin totale de l’État providence (assistance des privilégiés) et une chasse impitoyable aux gaspillages. De telles mesures, à elles seules, réduiront la facture fiscale de plus de 50 %, mais ce n’est pas suffisant. Certaines administrations seront purement et simplement supprimées, notamment dans le domaine de la fiscalité, dans le secteur agricole, commercial et social. Suppression également des instances administratives telles que le Conseil d’État et les tribunaux administratifs. ù

Les petits tribunaux d’exception (prud’homme, commerce, des baux ruraux, de la Sécurité sociale) subiront le même sort. Tous les conflits seront du ressort des seules cours judiciaires avec de profondes modifications quant aux procédures (simplifications et accélération, création de procédures de conciliation avant jugement, etc.). L’ensemble du fonctionnement du système administratif sera revu, notamment celui de l’éducation nationale : actuellement, elle constitue un véritable gouffre financier avec des résultats de plus en plus déplorables !

Je dois encore signaler les aides trompe-l’œil du gouvernement Macron. C’est ainsi par exemple que des aides de l’État sont accordées pour l’installation de pompes à chaleur, mais sous condition de revenus, ce qui exclue déjà quelques millions de Français, mais là n’est pas vraiment l’injustice. L’injustice existe du fait que les plus démunis ne disposent pas des moyens financiers pour pouvoir en bénéficier, il en va de même pour des millions de personnes en location : toutes ces personnes financent par leurs impôts, directs mais surtout indirects, le montant de ces aides. En réalité, ces aides contribuent à donner l’impression de caractère social à la politique gouvernementale, alors qu’en réalité elle favorise les personnes propriétaires avec suffisamment de moyens pour financer la part non prise en charge par l’État. Il s’agit bien là d’une politique trompe l’œil qui vise à tromper l’électorat… à moindre frais !


Dette publique
La dette publique correspond à l’ensemble des emprunts publics contractés par l’État, la Sécurité sociale, les ODAC et les collectivités territoriales. L'Agence France Trésor (AFT) a pour mission de gérer la dette et la trésorerie de l'État au mieux des intérêts du contribuable et dans les meilleures conditions possibles de sécurité

En France, à la fin du deuxième trimestre 2019, la dette publique s’établit à 2 375,4 Md€, en hausse de 16,6 Md€, d'après les chiffres de l'Insee publiés le 27 septembre 2019. Actuellement il dépasse largement les 3.300 milliards d’Euros.

Explication : 1 Md€ signifie 1 milliard d’euros, soit une valeur d’un millier de millions. Mille milliards est égal à un billion en échelle longue).

À la fin du deuxième trimestre 2019, la dette publique de Maastricht s’établit à 2 375,4 Md€ (en hausse de 16,6 Md€ par rapport au trimestre précédent. Exprimée en pourcentage du produit intérieur brut (PIB), elle est stable par rapport au premier trimestre 2019, à 99,5 %. La dette publique nette augmente plus fortement (+26,4 Md€) et s’établit à 90,4 % du PIB. 

Commentaire du R.P.L. : Une accumulation de plus de 3.000 milliards de dettes est à mon sens la preuve de l’incompétence en matière d’économie des gouvernements qui se suivent. Pour Macron, plus de 16 milliards de dettes en plus en 6 mois se passe de commentaire… Il est bien placé pour battre tous les records d’incompétence !

Le gouffre qu’est l’éducation nationale qui augmentera en 2020 de plus d'un milliard d'euros pour une politique inacceptable, alors qu’il est déjà le premier budget de la Nation. La priorité accordée à l'école primaire est de nouveau affirmée et les moyens d'enseignement dans le 2° degré sont maintenus, sans jamais remettre en cause l’incompétence de l’organisation, et surtout l’incapacités de très nombreux enseignants, très politisés à l’extrême gauche (réalité toujours occultée). Ce budget renforcerait les moyens en faveur d'une école pleinement inclusive (qui cherche à faire suivre un maximum d’enseignements communs aux enfants d’âge scolaire, qu’ils soient ou non en situation de handicap, en mettant en place des dispositifs adaptés à chacun.)et permettrait un soutien accru à la jeunesse et à la vie associative avec une augmentation significative de 8,5%. 

Cette orientation est à notre sens extrêmement dangereuse pour le niveau de l’enseignement, preuve en est par la chute du niveau des étudiants ! Il s’agit là d’une orientation franchement gauchiste que nous rejetons catégoriquement. Ce terme (inclusive) assimile le langage épicène, la rédaction épicène, le langage neutre, l'écriture inclusive ou le langage dit non sexiste ou dégenré, qui n’exclue personne. Ce sont là un ensemble de règles et de pratiques qui cherchent à éviter toute discrimination supposée par le langage ou l'écriture. 
Cela se fait à travers le choix des mots, la syntaxe, la grammaire ou la typographie. On dit qu'une expression est épicène si elle s'applique indifféremment à une personne masculine ou féminine. Un style épicène tend à éviter une discrimination, perçue comme étant forcée par les normes imposées de la langue, entre les genres masculin et féminin. Ce style inclut la féminisation des titres, les dénominations neutres, et une désignation correcte des personnes transgenres. Quant à l'écriture inclusive, sa portée est plus large : outre le genre, elle viserait aussi à éviter d'autres discriminations supposées liées au handicap, à l'âge et à l'origine ethnique.
L'usage et la réception publique du langage épicène et de l'écriture inclusive varient selon les langues et les pays. Le langage inclusif suscite des nombreuses critiques et une opposition de longue date de l'Académie française. C’est aussi la conception du R.P.L. : Pour nous, l’hétérosexualité n’a rien d’anormale, n’en déplaise aux lobbys homosexuelles qui cherchent à imposer leurs conceptions, du langage, de la famille et autres… Gaspiller pour ce faire plus d’un milliard d’euros est inacceptable !

Limiter les dépenses et supprimer tous les gaspillages constitueront nos priorités absolues pour redonner à la France sa grandeur et sa dignité d’autrefois ! Les recettes de l’État doivent absolument être supérieures aux dépenses, tout en réduisant la pression fiscale sur un principe d’égalité, soit le contraire des politiques qui se suivent depuis celle du Général de Gaulle (la seule politique qui ait obtenu des résultats positifs au niveau du budget) !
Comment expliquer un tel déficit et pourquoi est-il de plus important ?

Sous la cinquième république, seul le Général de Gaulle avait réduit le déficit de la France ! Depuis, tous les autres Présidents, sans exception, n’ont fait que l’aggraver. Il est urgent de mettre un terme à ces politiques d’incapables, fortement diplômés, certes, mais incapables à redresser la France en l’enfonçant de plus en plus sous les dictats européens, sans oublier la scandaleuse politique des copinages matérialisée par des subventions et primes d’encouragement, pour détourner l’argent des plus faibles en leur faisant payer des objets (voitures, chaudières, etc.) qu’ils n’ont pas les moyens de s’offrir, accentuant en ceci leurs difficultés et une profonde injustice : En cela, Macron bat des records !

Commençons par démystifier les copinages, les subventions scandaleuses. Sur ce point, parcourir le site de la Cour des Comptes réserve des surprises, en voici un petit aperçu : 
L’institution s’étonne que les missions de services publics confiées aux fédérations de chasseurs ne soient pas mieux contrôlées, et que ces dernières ne rendent pas davantage compte de l'utilisation des sommes accordées par l’État.

Les chasseurs ne se contentent pas de tuer des animaux. La loi leur a en effet confié des missions de services publics, comme l'organisation de la chasse, l'installation de clôtures protectrices ou encore la préservation de l’habitat de la faune sauvage. En échange, les fédérations reçoivent des financements de l’État qui sont en augmentation ces dernières années (Les subventions accordées à la Fédération nationale des chasseurs en hausse de 23.000 % depuis 2017, un record mondial !).
Le problème, c’est que les montants accordés et leur utilisation ne seraient pas suffisamment justifiés, d’après un rapport de la Cour des comptes publié ce matin. L’enquête avait été lancée à l’été 2022 à la demande du collectif Un jour un chasseur, créé après la mort accidentelle du jeune Morgan Kean en 2020.
Des dizaines de millions d’euros versés chaque année
La Fédération nationale des chasseurs (FNC) perçoit 9 millions d’euros par an depuis la réforme de la chasse de 2019. Ce sera le cas jusqu’en 2024. Il s’agit d’une compensation pour gérer les plans de chasse et les associations communales de chasse agréées. Sur ce total, 6,9 millions sont versés directement aux fédérations départementales. Mais sans justification des coûts, relève la Cour des comptes, alors que cela était pourtant prévu par la loi.
D’autres subventions sont versées par l’État aux fédérations nationale, régionales et départementales. Limitées, elles se sont élevées à 600 000 euros en 2021. Il y a aussi des aides plus conséquentes distribuées par les collectivités locales, dont le montant a atteint 6,1 millions d’euros, également en 2021. En décembre 2022 enfin, des crédits supplémentaires ont permis d’engager 18,6 millions d’euros au profit des fédérations départementales, pour aider à indemniser les agriculteurs victimes des dégâts du grand gibier.
La Cour des comptes attend des justificatifs
Pour clore le tout, l’État a promis en début d’année de verser 60 millions d’euros supplémentaires sur trois ans au réseau fédéral des chasseurs, pour réduire encore plus efficacement les dégâts du grand gibier. Ce qui fait s’étrangler la Cour des comptes. Cet engagement a été pris sans analyse préalable de la situation financière des fédérations de chasseurs, qui n’est pas menacée à court terme, et sans mesure de contrôle de l’efficience et de l’efficacité de leurs actions, peut-on lire dans le rapport.
En tuant des animaux parmi les 58 espèces autorisées, les chasseurs sont censés contenir leur prolifération et ainsi maintenir un équilibre entre le gibier, la biodiversité et les activités humaines. Mais les résultats de ces prélèvements seraient insuffisamment documentés. La Cour des comptes reproche aussi à l’État d’avoir abandonné le cadrage de ces données. Et demande maintenant à ce que l’on donne davantage de moyens et de pouvoir aux agents de l’Office Français de la Biodiversité (OFB) pour les contrôler. Il restera encore aux fédérations de chasseurs à rendre compte de leurs actions. En publiant, par exemple, des rapports moraux, leurs comptes, des rapports du commissaire aux comptes et les procès-verbaux des assemblées générales.
Actualisé en février 2024 : Source Vie publique
La dette publique de la France a atteint 3013 Milliards au T1 2023. Elle est supérieure au PIB depuis début 2020, elle le dépasse actuellement de 334 Mds d'euros. Elle représente 44 300 euros par Français. La dette est due aux dépenses de l'État qui sont systématiquement supérieures aux recettes depuis 50 ans. 
À lire aussi
Les chasseurs réclament une prime à la casse pour les vieux fusils en cas d’interdiction du plomb.


Retour au passé pour voir l’avenir !

En direct à la télévision, 
Nous avons, hier même, achevé de rembourser toutes nos dettes à court terme… A l’heure actuelle la France n’a plus de dette ! Voilà des paroles que l’on aimerait entendre en 2024… Car malheureusement elles datent de 1970, sous la présidence de Georges Pompidou ! Georges Pompidou (le dernier politique authentiquement gaulliste) annonce aux Français que le pays est totalement désendetté, avec une situation budgétaire excellente. 
Depuis cette belle époque, notre pays a plongé, dans le sillage de l’Europe politique et ses principes empruntés directement au nazisme (pour preuve, cliquer ici) : 
Jadis fortement industrialisée et sans dette, la France est désormais désindustrialisée et surendettée de plus de 3.300 Milliards d’€ (juillet 2024). La volonté socialiste de décentralisation a été une énorme erreur, source d’importantes dépenses, que nous neutraliserons pour un régime de centralisation conforme aux traditions françaises. Voir le résumé complet de la Cour des Comptes (une des rares administrations vraiment utile et travailleuse que nous renforcerons en lui attribuant des pouvoirs de police pour redresser certaines situations particulièrement inacceptables, ses effectifs seront doublés pour ce faire).
Une dette qui a fortement augmenté pendant les mandats de François Mitterrand, de Chirac, de Nicolas Sarkozy et d’Emmanuel Macron. 






















C’est la pire dérive des finances publiques en temps de paix !
Nos élites politiques ont pris l’habitude d’arroser d’argent public des pans entiers de la société pour régler chaque crise : 
	Plus de 17 milliards d’euros dépensés pour apaiser les gilets jaunes…
	Plus de 140 milliards dépensés pour protéger les entreprises de la crise COVID…
	Plus de 100 milliards d’euros pour bloquer l’inflation, et les hausses de prix de l’énergie…
	La liste des gaspillages est vraiment trop longue pour être reprise sur ce brève aperçu !
Problème, la France n’a pas tout cet argent dans ses caisses, et elle doit donc l’emprunter auprès des marchés financiers. Jusqu’à aujourd’hui, ces marchés ont accepté de nous prêter, à condition que l’État garde les capacités de payer le service de la dette. Et c’est maintenant que les ennuis commencent : La dissolution récente de Macron a aggravé les doutes sur la capacité de l’État à garder sa dette sous contrôle.
Avec le chaos politique actuel, il est maintenant impossible de faire adopter la loi du Budget 2025, et réduire pour de bon les déficits publics… Pourtant, c’est l’exigence des marchés financiers pour continuer à prêter de l’argent à notre pays. 
Autrement dit, le prochain gouvernement va être totalement bloqué pour remettre de l’ordre dans les comptes publics, et le seul consensus possible sera une ponction des richesses des Français. 
Cette situation combinant des finances publiques exsangues et un blocage politique est exceptionnelle, mais elle a déjà eu lieu dans notre histoire. La crise actuelle rappelle douloureusement celle de l’Ancien Régime. Il y a un enchaînement d'événements assez similaires entre notre époque et celle de la fin de l’Ancien Régime. 
Sous Louis XVI, la France est politiquement divisée et affaiblie ; les réformes fiscales nécessaires sont bloquées : Les nobles et le clergé refusent de payer, et le peuple refuse de supporter des taxes et impôts supplémentaires. Face à l’urgence de la dette à payer, l’État fait main basse sur le patrimoine des Français : 
la saisie des biens de l'Église ;
puis la saisie des biens en or et argent des Français ;
et enfin des taxes à des taux confiscatoires sur les revenus et l’épargne. 

Dès 1789, la France est en faillite, mais elle retarde l’inéluctable pendant presque 10 ans en dépouillant ses citoyens. Bilan de cette fuite en avant : une France avait perdu toute crédibilité financière, et des citoyens ruinés par l’État. 
Les langues se délient petit à petit : Ils veulent ponctionner notre épargne ! 
Devant l’impossibilité de stabiliser les finances publiques, des voix de responsables politiques s’élèvent pour suggérer de taxer directement les avoirs des Français. Gabriel Attal parle de taxation de rentes et reste depuis assez flou pour ne pas effrayer les Français. Ces rentes sont en réalité vos produits bancaires, et vos actifs de diverses natures (bourse, immobilier, etc.)
Le Président de la cour des comptes Pierre Moscovici évoque quant à lui l’idée d’un impôt exceptionnel et temporaire sur le patrimoine financier de 10% des Français les plus aisés, et déclare à propos des moyens de régler la crise des finances publiques : Je ne suis pas un maniaque de la fiscalité, mais il ne faut pas s'interdire le levier fiscal.
En clair : le patrimoine des plus riches va combler le trou puis, en fin de chaîne, ce seront les plus modestes qui compenseront ces ponctions financières par des hausses de prix. Plus subtilement, Emmanuel Macron parle de mobiliser l’épargne vers des financements nationaux et européens. Comprenez par-là qu’il veut prendre votre épargne pour financer le déficit public… et l’Europe ! 
Il est certain que les mesures préconisées par le R.P.L. feront très mal aux assistés qui profitent outrageusement des finances publiques : ces assistanats seront totalement supprimés, tant que le déficit de la France ne sera pas totalement épongé. De très nombreuses actions seront conduites avec fermeté pour revenir aux finances de 1970 (0 dette pour l’État) :
Retirer le pouvoir de mains des élites dénuées d’intelligence qui, depuis 50 ans ou moins, font carrière en politique (au mépris de l’électorat) !
Sortir de l’Europe politique ;
Rétablir une véritable démocratie en France (changement de constitution)
Réindustrialiser la France ;
Réduire au maximum les importations et privilégier les productions françaises ;
Favoriser les productions agricoles naturelles (sans pesticides)
Établir une véritable médecine libre (reconnaissance et enseignement de la naturopathie, médecine psychosomatique naturelle, hygiène vitale, etc.)
Faire supporter aux employeurs la totalité des charges propres à leurs personnels étrangers, et non plus aux contribuables ;
Suppressions des organismes parasitaires, toujours en déficits (fin des entreprises privées sous tutelle de l’État et administrations sans intérêt réel)
Responsabilisation réelle des fonctionnaires (nombre sérieusement réduits et salaires plus confortables)
Associer les employés aux employeurs (salaires indexés sur celui du PDG ou Directeur)
Pour une véritable politique de paix (fin d’envoi d’armement et de milliards d’euros pour accentuer les conflits… et tuer des milliers d’innocents !)
Des centaines de mesures qui viseront à redonner la France sa véritable identité et son honneur !
Force nous est de constater que 90 % des ménagères font preuve de plus d’intelligence que nos élites politiques bardés de diplômes (doctorats, agrégations, etc.), en effet, lors des fins de mois difficiles, elles ne vont éviter des creuser des dettes éventuelles, ou d’en créer, mais les élus du gouvernement sont incapables de comprendre un tel comportement, et continuent, depuis plus de 50 ans, à gaspiller l’argent, qui, en plus, ne leurs appartient pas : c’est celui des contribuables dont nous faisons tous partie !
Le Général de Gaulle et Georges Pompidou ont apporté la preuve éclatante de la possibilité d’éponger les dettes de la France, mais tous leurs successeurs, sans exception, ont prouvé leur incapacité de faire comme eux, et beaucoup plus grave encore, c’est par milliers de milliards qu’ils ont tous contribué à creuser une dette colossale. La question se pose à présent : Étaient-ils tous d’un niveau inférieur à celui de femmes et d’hommes sans diplôme, mais capable de gérer un budget, ou, ce qui est plus grave, tous nos dirigeants auraient-ils fait preuve de cupidité, et ce malgré les avertissements continus de la cour des comptes ? Pourquoi en tels cas, ne pas envisager de sanctions pénales, car cet argent gaspillé par milliards, c’est celui des Français qui travaillent, non le leur car à présent, c’est bien aux Français de rembourser leurs dettes !
Chacun pourra compter sur le R.P.L. pour neutraliser tous ces abus avec la fermeté qui s’impose tout en redonnant la parole au peuple et respectant ses volontés par un système de démocratie directe, recentralisée. Rembourser les dettes de la France est possible, mais pas avec des mesurettes ridicules en continuant les gaspillages. Assainir les milieux des hauts fonctionnaires et des politicards professionnels que l’on retrouve sans cesse aux commandes de l’État, même après des désaveux cinglants de l’électorat, comme cette petite minorité des LR associée aux Macronnistes, s’impose ! Mettre fin à leurs magouilles habituelles pour détruire le peu qu’il nous reste de démocratie sera fait !

Comment les certificats de papier ont remplacé l’or en tant que monnaie
S’il est une chose qui est assez mal connue, c’est comment la monnaie en papier (les billets) en est venue à remplacer l’étalon or, et son incidence réelle sur le système bancaire. Comme je viens de trouver une explication très claire du cheminement de la monnaie scripturale, comme il est convenu de l’appeler, j’en reprends sur Internet une partie pour la porter à votre connaissance ci-après.
A l’origine, la monnaie papier n’était pas considérée comme de la véritable monnaie, mais simplement comme le symbole d’une certaine quantité d’or (autrement dit un substitut monétaire). Divers certificats en papier en circulation constituaient des créances sur l’or stocké dans les banques. Les détenteurs de ces certificats pouvaient les convertir en or quand ils le jugeaient nécessaire. Parce que les gens trouvaient plus pratique d’utiliser ces certificats en papier pour échanger des biens et des services, ils ont fini par être considérés comme de la monnaie.
Bien que plus pratique, l’utilisation comme moyen d’échange de certificats en papier a ouvert la voie à des activités frauduleuses. Les banques pouvaient être tentées d’augmenter leurs profits en prêtant des certificats non couverts par leurs réserves d’or. Dans une économie de marché libre, une banque qui émettrait des certificats en excès verrait rapidement la valeur d’échange de ses certificats, contre des biens et services, diminuer.
Pour protéger leur pouvoir d’achat, les détenteurs de certificats adossés à une réserve d’or insuffisante émis par la banque tenteront probablement de les convertir en or. Mais s’ils décident tous de demander à récupérer leur or en même temps, cela mènerait la banque à la faillite. Dans une économie de marché libre, la menace de faillite dissuaderait donc les banques d’émettre des certificats non couverts par leurs réserves d’or. Cela implique que, dans une économie de marché libre, la monnaie papier ne peut pas acquérir une vie propre et devenir indépendante de la monnaie marchandise.
Cependant, l’État peut s’affranchir de la discipline monétaire qu’un marché libre serait obligé de respecter.
Il peut par exemple décréter qu’il est légal pour les banques de ne pas convertir les certificats en or (autrement dit, d’en suspendre le paiement en monnaie métallique). Une fois que les banques n’ont plus l’obligation d’échanger contre de l’or les certificats qui leurs sont remis, des opportunités de profits importants apparaissent, sans conséquences aussi néfaste qu’auparavant. Cela incite les banques à poursuivre une expansion sans limite de l’offre de certificats fiduciaires.
Cette expansion non contrôlée des certificats augmente la probabilité de déclencher une hausse galopante des prix des biens et services, pouvant mener à l’effondrement de l’économie de marché. Pour éviter un tel effondrement, l’offre de certificats doit être contrôlée. Cet objectif peut être atteint en établissant une banque monopolistique (c’est-à-dire une banque centrale en charge de gérer la vitesse d’expansion de l’offre de certificats).
Pour affirmer son autorité, la banque centrale introduit d’abord son propre certificat fiduciaire, qui remplace les certificats des différentes banques commerciales. Le certificat de la banque centrale est essentiellement adossé aux certificats des banques commerciales, qui conservent un lien historique avec l’or (ce qui explique que le pouvoir d’achat de ce certificat continue de se maintenir même après la suppression de l’étalon-or). Le certificat de la banque centrale, qualifié de monnaie à cours légal, sert également d’actif de réserve pour les banques. Cela permet à la banque centrale de fixer une limite à l’expansion du crédit par le système bancaire. Le pouvoir d’achat de la monnaie émise par la banque centrale repose sur le fait que les divers certificats émis par les banques commerciales, ayant déjà un pouvoir d’achat, doivent être échangés contre le nouveau certificat de la banque centrale à un taux de change fixe.
On pourrait donc avoir l’impression que la banque centrale est capable de gérer et de stabiliser le système monétaire. Cependant, la réalité est tout autre. Pour garder le système sous contrôle, la banque centrale doit constamment créer de la monnaie ex nihilo (et donc provoquer de l’inflation) afin d’éviter que certaines banques ne soient à court de liquidités et n’entraînent les autres avec elles dans leur chute. Cela conduit à un déclin régulier du pouvoir d’achat de la monnaie, tout en déformant la structure des prix et l’organisation de la production, ce qui déstabilise l’ensemble du système monétaire.
Le plan adopté par la banque centrale (accroître la masse monétaire à un taux constant ou l’ajuster en fonction de la croissance économique) n’y changera rien. Quelle que soit la façon dont la banque centrale augmente la masse monétaire, ces cycles s’intensifieront inévitablement avec le temps.
Le plan de Milton Friedman consistant à fixer le taux de croissance de la masse monétaire à un niveau constant ne résout pas le problème. En effet, une croissance de la masse monétaire stable reste une croissance de la masse monétaire, ce qui implique que de la monnaie créée à partir de rien continue d’être échangée contre des biens et services réels, menant à un appauvrissement de la population et à une instabilité accrue de l’économie. Il n’est pas surprenant que la banque centrale ait systématiquement recours à des plans de relance monétaire lorsque l’économie est menacée par divers chocs. Une telle politique de création monétaire est la cause principale de l’affaiblissement du taux d’épargne et de la capacité d’investissement en capital, puisque cela entraîne l’échange de monnaie créée à partir de rien contre des biens et services réels.
Combien de temps la banque centrale peut-elle parvenir à maintenir le système monétaire actuel en place ?
Cela dépend du niveau de l’épargne et du capital accumulé. Tant qu’ils continueront de croître, la banque centrale peut donner l’illusion qu’elle réussit à maintenir une économie prospère. Cependant, une fois que l’économie tombera en récession en raison de la diminution du stock de capital, toutes les tentatives du gouvernement ou de la banque centrale pour relancer l’économie échoueront. Non seulement ces tentatives ne réussiront pas à relancer l’économie, mais elles épuiseront davantage les réserves d’épargne et freineront l’investissement, prolongeant la récession. Comme l’a écrit Mises sur ce point :
Toute la philosophie sociale de l’interventionnisme étatique repose sur la croyance dans l’existence d’une réserve inépuisable d’argent, dans laquelle on pourrait puiser indéfiniment. Toute l’idéologie interventionniste s’effondre si cette source disparait et la croyance dans le Père Noël s’évapore. 
Conclusion
Etant donné que le système monétaire actuel est fondamentalement instable, il ne peut y avoir de taux de croissance optimal de la masse monétaire. Que la banque centrale injecte de la monnaie supplémentaire en fonction des besoins de l’activité économique ou qu’elle fixe un taux de croissance permanant de la masse monétaire, cela ne peut que déstabiliser encore davantage le système. La seule façon de véritablement stabiliser le système consiste à laisser le marché libre prendre le relais.
Article traduit avec l’autorisation du Mises Institute. Original en anglais ici.

Financement de l’État / Gaspillage

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Financement de l’État

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RASSEMBLEMENT POUR LA LIBERTE

Seul un peuple libre et indépendant peut connaître le bonheur et la joie de vivre !

La liberté constitue un idéal presque irréalisable : tous les gouvernements qui se sont succédés à ce jour,

sans exception, de droite comme de gauche, ont porté atteinte à nos libertés depuis 1789 !

La liberté est le but et la raison d’être du Rassemblement Pour la Liberté (R.P.L. en abrégé)

Liberté, égalité pour tous

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